Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
"le blog des enfants de buzzzzz et ninnin"
29 janvier 2008

opération des vegétation le 20 février pour gauthier

et oui notre petit ange va subir une opération , petite mais bon, le 20 février rdv a 8h00à la clinique, en attendant , il va falloir lui faire des analyse de sang, prise de rdv anesthesiste...

ça va nous savons a qoui nous attendre puisque loulou s'est fais opérer en avril 2006, pas pour la meme raison loulou il avait otite sur otite  pendant 6 mois et  gauhier c'est rhino sur rhino depuis 6 mois .

jeudi dernier j'ai il a fais sa radio, qui montre bien qu'il a trop de végétation,  ce soir vu l'orl qui a confirme et donc effectué et expliqué  les démarches pour l'opération.

je vais donc poser ma journée;, il me faut au moins la matinée car j'ai besoin d'être a ses côtée te buzzzzz va poser des recups et jrrt : 3 jours pour etre a ses petits soins :  ce sont les 2 heures qui suivnet les plus dur: saignement, pleure de l'enfant...

louis avais 3 ans il parlais bien gauthier  auras 14 mois ca va donc être dur dur on ne va pas savoir ou il auras mal...

La santé de nos enfants

Amygdales et végétations (20 mai 2004)

Quand l’opération est nécessaire

Face à des angines, des otites ou des rhinopharyngites à répétition, aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte, l’option chirurgicale peut s’imposer, si le médecin ORL le juge nécessaire. Mais l’ablation des amygdales et/ou des végétations n’est plus aussi systématique que naguère.

Les amygdales sont de plusieurs sortes. Celles que l’on peut voir de part et d’autre de la luette sont appelées amygdales palatines. Il en existe d’autres, plus petites : les amygdales linguales (à la base de la langue), pharyngées à l’arrière-fond des fosses nasales (appelées végétations adénoïdes lorsqu’elles sont enflées), vélopalatines (derrière le voile du palais) et tubaires (autour des orifices de la trompe d’Eustache). Ce sont essentiellement les amygdales palatines et les végétations adénoïdes qui, par leur emplacement, sont mises en cause lors d’in- fections à répétition.

Les végétations

Lorsque les amygdales pharyngées sont enflées, elles sont appelées végétations adénoïdes. Comme elles sont situées près des trompes d’Eustache, elles peuvent les encombrer et provoquer ainsi des infections répétées des oreilles, dont les otites. Elles peuvent aussi bloquer l’entrée de l’air du nez vers la gorge et rendre la respiration par le nez difficile. L’enfant va alors respirer par la bouche, ce qui peut en assécher les muqueuses qui pourraient s’irriter. Une conséquence moins connue est le risque de développer un mauvais développement du maxillaire : cela se traduira concrètement par un mauvais emboîtement entre les dents supérieures et inférieures et rendre la mastication moins efficace. De plus, vu que la bouche doit rester en permanence entrouverte, la mâchoire inférieure va devoir adopter une position relâchée inhabituelle, ce qui va troubler la tonicité de sa musculature.

Dans le cas des maladies liées aux amygdales comme aux végétations, l’enfant risque de subir un retard scolaire à cause d’un absentéisme récurrent et important.

Pas avant 4 ans

Face à ces possibles pathologies chroniques, le médecin peut décider d’une intervention, qui consistera à enlever les amygdales et éventuellement les végétations. Il tardera davantage qu’auparavant pour supprimer ces barrières naturelles contre les microbes. Par ailleurs, dans les cas d’hypertrophie, il faut garder à l’esprit que les amygdales diminuent naturellement de volume après 8 ans, réglant ainsi parfois le problème.

L’intervention chirurgicale n’est que très rarement proposée avant l’âge de 4 ans, car outre la résolution naturelle des problèmes, d’autres tissus lymphoïdes pourraient repousser et de nouveau poser problème à terme. L’âge idéal de l’intervention est donc situé entre 4 et 8 ans, pour le cas où aucune solution naturelle n’est à espérer.

Bien se préparer

Lorsqu’un enfant sait qu’il va devoir être hospitalisé, qui plus est pour être opéré, il a particulièrement besoin d’être rassuré. Il faut donc en discuter avec lui et avec le médecin, donner des réponses claires et franches à ses questions pour dissiper toute zone d’ombre. Mieux vaut pour lui des réponses qui ne lui plaisent pas, du type “tu auras mal le premier jour”, que le laisser imaginer le pire.

D’un point de vue plus médical, il est essentiel de ne pas donner à l’enfant certains médicaments qui pourraient prolonger la durée du saignement et ce, 15 jours avant et 8 jours après l’opération. Sont concernés l’acide acétylsalicylique (aspirine) et les anti-inflammatoires. Quant à la prise d’autres médicaments, il vaut toujours mieux demander l’avis de son médecin.

L’opération dure généralement 30 à 40 minutes, sous anesthésie générale, donc à jeun, le plus souvent en hôpital de jour.

Après l’opération

Après l’opération, ce qui “ravit” généralement les petits, c’est l’alimentation à base de glaces, sorbets et autres sucettes glacées. Mais attention, une trop grande consommation de ces produits peut provoquer des crampes d’estomac ! Aussi, dès le 2ème jour, on pourra donner des crèmes de type pudding et toutes sortes d’aliments faciles à avaler, froids et mous, et ne nécessitant pas de mastication. Il est conseillé de boire par petites gorgées et régulièrement pour éviter la déshydratation, mais pas à la paille dans les 10 jours qui suivent l’opération. Le retour à une alimentation normale se fera progressivement, en commençant par des aliments mous et tièdes dès le 3ème jour, comme de la purée, des pâtes, de la viande hachée…. Ensuite, après une petite semaine, l’enfant peut manger normalement, en évitant pendant une semaine supplémentaire des aliments susceptibles de blesser, comme des croûtes de pain, des biscuits, des frites… Notez qu’il ne faut pas obliger l’enfant à manger le lendemain de l’intervention, car lors d’une opération des amygdales, la déglutition peut être assez douloureuse ; l’essentiel est qu’il boive de l’eau.

Certains symptômes sont normaux après l’opération : une fièvre jusqu’à 38.5° est courante pendant les 2 jours qui suivent l’opération. De même, peuvent se produire des vomissements de sang brun ou des selles plus foncées le lendemain de l’opération, en raison de l’ingestion du sang lors de l’intervention. Des saignements du nez, lorsque l’on a subi l’ablation des végétations, sont aussi normaux.

Enfin, des petites taches blanches peuvent apparaître de chaque côté de la gorge, qui disparaîtront d’elles-mêmes et une mauvaise haleine est fréquente. Mais si ces symptômes persistent après deux jours, il est sage de consulter le médecin pour faire le point.

En ce qui concerne les douleurs, elles sont plus intenses après l’ablation des amygdales, surtout lors de la déglutition. Elles peuvent être soulagées soit en mâchant de la gomme, soit par du paracétamol.

Hygiène de la bouche

Un rinçage fréquent et en douceur au sérum physiologique des narines aidera la cicatrisation. Il est important d’insister sur le fait qu’il ne faut pas essayer d’enlever les croûtes de sang séchées dans le nez, mais les laisser tomber toutes seules. Un mouchage délicat, narine par narine, évitera de laisser s’accumuler les sécrétions dans le nez. Une bonne hygiène de la bouche, par un brossage doux des dents, favorisera aussi la guérison.

Enfin, en termes de reprise des activités habituelles, et après un repos à la maison pendant 4 à 5 jours, l’enfant devra éviter les efforts physiques, comme la piscine ou la gymnastique. On lui épargnera aussi les salles surchauffées et les bains chauds, et ce pendant une semaine.

Carine Maillard

Pour en savoir plus :

“Les opérations ORL de l’enfant” par Dr Maurice Rotenberg (Collection Expliquez-moi, docteur). Masson Editeur. 2001.

 

Les signes

de l’amygdalite

  • gorge irritée

  • fièvre,

  • ronflements,

  • difficulté à avaler,

  • fond de la gorge rouge,

  • Maladies de A à Z

    Imprimer Envoyer à un ami

    Les végétations

    Otites, angines et bronchites à répétition…Et si c'était les végétations ?







    Description

    Imaginez une " petite éponge " bien calée au sommet et à l'arrière des fosses nasales…

    Son rôle : piéger toute la journée les microbes et impuretés qui s'aventurent dans les voies respiratoires de Bébé… et stimuler les défenses de l'organisme en cas d'infection.

    Sa taille : variable selon les enfants, sans incidence d'ailleurs ni sur son efficacité, ni sur le risque qu'elle devienne un jour cause de complications.

    Son évolution : en place à la naissance, " poussant " jusqu'à l'âge de 18 mois environ, s'atrophiant et disparaissant vers 10 ans.

    Symptômes

    Trop sollicitées pour lutter contre des rhinites chroniques, les végétations retournent leur veste et attaquent à leur tour l'organisme

    Deux conséquences :

    Ecoulement de trop de pus vers la trachée (risque de bronchites) et vers les amygdales (risque d'angines).

    Inflammation des tissus proches, à commencer par ceux des trompes d'Eustache, entraînant - et c'est la conséquence la plus grave - des otites à répétition.

    Traitement

    Il y a une quinzaine d'années, l'ablation des végétations était très répandue. Ce qui n'allait pas sans quelques risques, notamment celui de diminuer la résistance de Bébé aux infections ORL. Depuis, cette pratique a chuté de 70% grâce aux traitements par immuno-stimulants.

    Aujourd'hui, avant de pratiquer un acte chirurgical, le pédiatre va tout mettre en œuvre pour renforcer les défenses de Bébé : moins d'infections veut dire végétations moins sollicitées, donc qui ne dégénèrent pas…

    Il n'en reste pas moins quelques cas extrêmes où l'ablation est nécessaire : otites séro-muqueuses résistantes aux traitements, otites aiguës purulentes, angines ou bronchites à répétition, etc. Seul votre pédiatre peut alors déterminer s'il faut ou non intervenir, et dans quel délai.

    dépôt blanc sur les amygdales.

  • Végétations adénoïdiennes

    La sphère O.R.L. (nez, gorge, oreilles) a un rôle très important dans l'organisme.
    Elle assure un rôle protecteur de gardien contre les agressions infectieuses (microbes, virus) qui menacent les voies respiratoires. Nous sommes tous un jour ou l'autre en contact avec ces infections.

    Notre système de défense les retient puis les détruit dans la plupart des cas : on s'immunise. Malheureusement, il arrive que ce système soit dépassé :
    - défaillance du système immunitaire partiel et temporaire (sont exclus de cet exposé, les déficits immunitaires graves tels le sida, le cancer, &)
    - réactions allergiques qui fragilisent les muqueuses (l'inflammation produite par l'allergie facilite le développement de l'infection).
    - sensibilité particulière de l'individu à des éléments extérieurs (humidité, froid, pollution, courants d'air&)

    Les jeunes enfants et les personnes âgées sont particulièrement fragiles.
    A la naissance, l'enfant ne possède comme moyen de défense que les anti-corps de sa mère (IgG).
    Ils disparaissent entre 4 et 8 mois pour laisser place aux anti-corps développés par l'enfant lors d'agressions (virales ou microbiennes).
    C'est donc à la faveur d'infections rhino-pharyngées que l'enfant va développer une production d'anti-corps au niveau de l'anneau Waldeyer (amygdales et végétations adénoïdes).
    Les végétations adénoïdes et les amygdales grossissent en fonction de leur activité.

    IL S'AGIT DONC D'UNE MALADIE D'ADAPTATION.

    La rhino-pharyngite est la pathologie la plus fréquente chez l'enfant entre 6 mois et 7 ans.
    Il s'agit d'une maladie d'adaptation qui ne devient pathologique par la fréquence de ses récidives ou l'apparition de complications.
    Deux complications sont fréquentes :
    1 - l'otite séromuqueuse
    2 - l'hypertrophie des végétations adénoïdes

    En effet, les fosses nasales sont encombrées par le liquide séromuqueux.
    Les végétations adénoïdiennes (comme les amygdales) sont des organes lymphoïdes qui nous protègent contre les agressions (virus, microbes) en les captant mais malheureusement elles se développent en grossissant.
    Si elles sont trop grosses, elles obstruent le conduit, empêchent les sécrétions de s'évacuer, et gênent le passage de l'air.
    Il s'agit d'un blocage mécanique dont la solution est le plus souvent l'opération (adénoïdectomie). On enlève les végétations, ce qui permet de libérer le conduit.

    L'inflammation chronique des voies aériennes provoque une obstruction progressive de la trompe d'Eustache (conduit qui relie l'oreille au sinus) qui empêche les sécrétions de s'évacuer : c'est un catarrhe tubaire.
    Il se produit alors une accumulation de liquide (séromuqueux) devant le tympan.
    Celui-ci, ne peut vibrer normalement, puisqu'il est gêné par le liquide ce qui entraîne la perte de la transmission vibratoire responsable de l'audition.
    Il en résulte une perte de l'audition de 30 décibels (surdité de transmission).

    Comment s'en apercevoir :
    Cliniquement :
    - la respiration se fait par la bouche
    - ronflements nocturnes
    - légère perte de l'audition (30 décibels), il faut donc répéter
    - impression d'oreilles bouchées
    - impression d'oreilles pleines
    - le nez est très souvent pris
    A l'examen : la radio des sinus montre une hypertrophie adénoïdienne.
    ATTENTION : seule une consultation médicale vous permettra de faire le diagnostic précis.

    Il faut absolument se moucher le plus souvent possible pour assurer au maximum une liberté des voies aériennes supérieures.
    Vous pouvez faire des lavages de sinus avec du sérum physiologique ou à l'eau de mer.

    Il faut apprendre à se déboucher la trompe d'Eustache par une rééducation tubaire : fermer la bouche, se pincer le nez, souffler fort et alors vos tympans claquent.
    Les cures thermales sont bénéfiques.
    les oligo-éléments sont d'un bon appoint.
    L'homéopathie vous sera d'une grande aide en stimulant votre organisme, celui-ci se défendra mieux.

Les signes 

des végétations adénoïdes

  • Obstruction nasale constante,

  • douleur aux oreilles avec ou sans otites,

  • nez congestionné,

  • bronchites récidivantes,

  • mauvaise haleine,

  • gorge enrouée,

  • respiration bruyante,

  • voix nasillarde.

Les amygdales sont un siège de production d’anticorps, des globules blancs, constituant ainsi une barrière pour les microbes, et limitant leur accès aux voies respiratoires supérieures. Après les avoir captés, les amygdales vont lancer le signal de production d’anticorps pour les détruire. Leur “identité” sera enregistrée dans la mémoire du système immunitaire pour les reconnaître lors d’une exposition future, et réagir efficacement.

Cependant, lorsque l’on est atteint d’infections répétées, comme les amygdalites (infection des amygdales, essentiellement palatines et linguales, très fréquentes chez les enfants de moins de 10 ans), les otites ou les angines, par exemple, les amygdales peuvent s’affaiblir et devenir elles-mêmes des foyers d’infection. Dans ce cas, l’ablation peut être envisagée. Néanmoins, contrairement à ce qui se pratiquait auparavant, cette décision ne sera prise qu’en cas d’échecs répétés des traitements médicamenteux.

Autre cas où cette solution peut être préconisée : lorsque les amygdales sont gonflées en permanence, au point de gêner la déglutition et la respiration. On parle alors d’hypertrophie des amygdales.

Publicité
Commentaires
Publicité